Les faux-monnayeurs à l'enfant que le feu brûle, consequence
Sujet
Dans son roman intitulé Les Faux-Monnayeurs (1925), André Gide fait dire à l’un des personnages : « Plutôt que de répéter sans cesse à l’enfant que le feu brûle, consentons à le laisser un peu se brûler : l’expérience instruit plus sûrement que le conseil ». Dans quelle mesure cette assertion correspond-elle aux analyses menées dans les œuvres inscrites cette année à votre programme ?
-L’analyse de notre citation :
-Notre citation repose sur une alternative offerte aux parents. Deux …afficher plus de contenu…
» (« Le Vilain Petit Canard » (III)
13. Le vilain petit canard frôle la mort, et voit les deux jars sauvages se faire tuer devant ses yeux lors de la « grande chasse » (« Le Vilain Petit Canard » (II)
14. C’est lorsqu’il décide de « partir dans le vaste monde » que le petit canard combat l’adversité
(la mise à l’écart, le gel, la brutalité des hommes, la neige, la solitude) et connaît enfin le bonheur : « Il se sentait vraiment heureux d’être passé par toutes les détresses et les adversités qu’il avait connues » (« Le Vilain Petit Canard » …afficher plus de contenu…
Heureusement, l’enfant joue « joyeusement », sans conscience des drames qui se sont noués à l’endroit même où il joue et qui se répéteront à l’avenir. « Les petits pauvres jouent joyeusement. Joue, petite fille ! Bientôt viendront les années… » (« En Regardant Par Une
Fenêtre à Vartou »