Explication de Manon 2
« Combien de personnes vivent à Paris, qui n’ont ni mon esprit, ni mes qualités naturelles, et qui doivent néanmoins leur entretien à leurs talents, tels qu’ils les ont ! La Providence, ajoutais-je, en réfléchissant sur les différents états de la vie, n’a-t-elle pas arrangé les choses for sagement ? La plupart des grands et des riches sont des sots : cela est clair à qui connait un peu le monde. Or il a là-dedans une justice admirable. S’ils joignaient l’esprit aux richesses, ils seraient trop heureux, et le reste des hommes trop misérable. Les qualités du corps et de l’âme sont accordées à ceux-ci, comme des moyens pour se tirer de la misère et de la pauvreté. Les uns prennent par aux richesses des grands, en servant à leur instruction, ils tâchent d’en faire d’honnêtes gens ; il est rare, à la vérité, qu’ils y réussissent, mais ce n’est pas là le but de la divine Sagesse : ils tirent toujours un fruit de leurs soins, qi est de vivre aux dépens de ceux qu’ils instruisent ; et de quelque façon qu’on le prenne, c’est un fonds excellent de revenu pour les petits, que la sottise des riches et des grands. »
Ce passage est entre les lignes 1273-1292. Dans y-t-il est un grand thème de l’histoire entier. Des Grieux pourrais comprendre sa position de privilège da la vie avec ses avantages naturelles (comme son capacités d’intelligence). Pour des Grieux, des choses comme le bonheur, l’amour, et les expériences viscéral de la vie sont les plus importants. Pourtant, la société a pensé qu’une éducation, la religion, la position de la vie sont les choses qui est les plus importants. Dans ma passage, des Grieux a illustré ce point avec la différence entre les riches et les pauvres. Il a dit qu’il est une grande égalisation entre les rôles de la vie. Après des Grieux, les riches sont des sots sans la connaissance de la vie à part de leurs salons. A contre, les pauvres, sont très intelligent, et a une grande appréciation pour des petites choses