lettres persanes
A- La caricature
Montesquieu, et son regard étranger faussement naïf observe sa société en faisant semblant d’en être surpris. Il a donc recours à la satire et à la caricature pour la retranscrire telle la verrait Rica. Dans un premier temps, il dénonce le côté très peu raisonnable des français par la fortune qu’ils dépensent pour être à la mode : "on ne saurait croire combien il en coûte à un mari, pour mettre sa femme à la mode " .
Par Rica, Montesquieu critique les excès de genre vestimentaire des français. En effet il les décrit de manière exagérée par leurs coiffures ou encore les talons "leur hauteur immense mettait une femme au milieu d’elle-même " ligne 19 ou encore " les talons faisaient un piédestal qui les tenait en l’air" ligne 20. Cependant selon Montesquieu les parures de ces femmes exigent des changements et ces caprices ont des conséquences sur l’art de l'architecture : "Les architectes ont été souvent obligés de hausser, baisser et élargir leurs portes, les règles de leur art ont été asservies à ces caprices ". C’est une mode très extravagante.
B- La mentalité des français
L'auteur critique exagération du côté éphémère de la mode : "éque me servirait de te faire une description exacxte de leurs parures ? une mode nouvelle viendrait détruire tout mon ouvrage. " Montesquie par Rica insiste