Lhenda
PRÉSENTATION Notre étude portera sur la Société VIVENDI UNIVERSAL tenue par Monsieur Jean Marie MESSIER, alors PDG entre 1996 et 2002. Ce choix est motivé par les voies de financement de la stratégie de croissance du groupe dans une dynamique de globalisation. INTRODUCTION En 1998, suite à sa fusion avec Havas, la Compagnie Générale des Eaux (CGE) prend le nom de Vivendi. En 2000, Vivendi fusionne avec Seagram et Canal +, donnant naissance à Vivendi Universal. Le groupe, deuxième mondial de la communication, génère un chiffre d’affaires consolidé de 58 milliards d’euros, un résultat d’exploitation de 3,8 milliards d’euros en 2002 est un leader des services à l’environnement. La société, composée de sept pôles principaux, cotée au New Stock Exchange et à Euronext Paris emploie 68150 personnes dans soixante et onze pays. La « création de valeur » est alors présentée comme « une des sept valeurs » du groupe. Pourtant, en novembre 1996, à la nomination de Jean Marie Messier comme PDG, la société est affaiblie par une diversification malheureusement dans l’immobilier. S’en suivent alors d’importantes mesures de restructuration entreprises par le nouveau patron. Afin de bien appréhender la stratégie mise en place pour ensuite voir les potentiels risques que peut rencontrer la société, notre étude s’articulera autour de 2 grands axes. SECTION 1 : L’ENVIRONNEMENT DU PROBLÈME Pour l’entreprise, l’étude de l’environnement est fondamentale dans la mesure ou les choix de l’entreprise sont faits après une analyse précise aussi bien de ses forces et faiblesses que des menaces et opportunités qui s’offrent à elle. En effet, si l’environnement externe est traditionnellement source d’influences, de pression ou de contraintes qui pèsent sur les décisions de l’entreprise, l’examen interne en revanche permet de révéler