Limites du compromis "à la belge"
La première partie retrace les grandes lignes, les idées générales du livre pour ensuite permettre de mieux expliquer comment le chapitre 2 s’intègre dans la dynamique du livre. La deuxième partie contient le résumé du chapitre choisi par le groupe et pour finir, la troisième et dernière partie présente une application concrète du compromis relatif à la crise belge actuelle.
Situer le chapitre dans la dynamique globale de l'ouvrage
« Un compromis est une réduction multilatérale des ambitions des partenaires d’une interaction, de manière à ce que l’action interactive puisse avoir lieu et qu’au moins un des partenaires obtienne un résultat meilleur que celui que l’interaction lui laissait craindre » . Cette définition du compromis, qui nous est proposée dans les premières pages, sera une clef essentielle pour la compréhension future de cet ouvrage. Le livre est principalement bâti sur deux parties : la première pose les bases explicatives du compromis avant de rassembler les diverses idées et interprétations faites par des penseurs au fil des siècles, la seconde transpose ces aspects plus théoriques en exemple plus concrets nous permettant de mieux saisir, d’appréhender la complexité des thèmes abordés. Une fois le chapitre d’introduction passé, les nuances entre le compromis et l’utopie nous sont présentées à travers différentes perspectives philosophiques (citons par exemple Weber, Hegel ou Weil) et nous montrent toute la difficulté à définir clairement la position de l’utopie face au compromis. Le chapitre 2, introduit la notion de pluralisme dans le compromis. Pluralisme qui est un