On distingue trois grands mouvements qui constituent la littérature cubaine. Premièrement, il y a la génération de l’avant-garde, ensuite la génération de l’entre-deux révolutions et finalement la génération de la révolution.
José Julian Marti Pérez était un auteur, un poète, un traducteur, un diplomate et un journaliste des années 1850. Il était renommé pour ces poèmes et ses romans. De plus, il était le chef d’un mouvement de l’indépendance de l’Espagne. Certains le considère même comme étant un héros national. En 1869, il a été arrêté étant accusé de trahison du gouvernement espagnol. Il va ensuite changer de nom pour Isla de Pinos et sera rapatrier en Espagne. Après avoir immigrer dans plusieurs pays différents, il est retourné à Cuba. En tant que journaliste, Marti va copier des articles et les traduire. Dans ses oeuvres, on distingue notamment un article qu’il a écrit, Abdala, qui est un réquisitoire contre l’Espagne. De plus, lors de son transfert dans plusieurs pays, il va rencontrer Victor Hugo et va ensuite devenir collaborateur d’une grande revue. Une de ses phrases les plus célèbre est: « Là où il y a du coeur il y a de l’avenir ». On érige plusieurs monuments en son honneur dont une grande bibliothèque.
La révolution cubaine de 1959 va avoir de gros incidents sur la littérature. Pendant celle-ci, on va trouver des textes appuyant tous les idées de Fidel Castro. De plus, le théâtre va prendre beaucoup d'expansion lors de ces années, abordant des sujets qui touche à la révolution.
Parmi ces auteurs, on compte Reinaldo Arenas qui sera très persécuté à cause de son homosexualité. Étant abandonné par ses deux parents, celui ci va être éduqué par une famille très pauvre. Très jeune il va peu à peu développer un talent pour l’écriture. À 13 ans, il va déjà s’engager auprès des révolutionnaires. Plus tard, il va commencer à faire ces études universitaire à la Havane et va travaillé en tant que bibliothécaire à la bibliothèque portant le nom de José Marti,