Gestion logistique et transport

La logistique portuaire Enjeux et
Indicateurs de performance Projet de Fin d’Etude

Réalisé par :
Talal Benazzouz
Rayahine Aiboud

Encadré par :
Mr. Fouad JAWAB

Année universitaire 2011/2012

Projet de fin d’étude

La gestion portuaire

GLT - ESTF

Avant-propos

Au cours des années 80, le Maroc a décidé d’ouvrir son économie sur le monde afin de favoriser sa croissance. Une ouverture qui s’est traduite en 1996 par l’accord d’association Européenne, et plus récemment avec des accords de libre-échange notamment avec les Etats-Unis. En 2003 le taux d’ouverture de l’économie était de
55%. L’exportation est devenue l’un des piliers de l’économie marocaine.
Du coup les entreprises marocaines doivent développer leur compétitivité. Une compétitivité qui passe comme l’indique la banque mondiale par des éléments
« élément aussi divers que la compétitivité du taux de change, la stabilité du cadre macroéconomique, le coût de la main d’œuvre (et son niveau de qualification), l’innovation, la qualité des infrastructures, le respect du droit ou encore la performance du service public.
De plus pour un pays dont l’avantage est principalement lié à la situation géographique – qui facilite l’exportation- la logistique doit absolument permettre de réduire les coût de transaction et amélioré l’efficacité dès l’échanges internationaux.
Les entreprises marocaines doivent prendre en compte les contraintes de temps, de qualité ou encore de fiabilité pour s’imposé sur le marché international.
Economiquement, le Maroc est une île en sesens que la totalité de ses échanges extérieurs transite par la mer. L’activité portuaire peut de se fait, suivant les cas, devenir un obstacle au développement ou au contraire un stimulant, tout dépend de l’organisation choisi.
Une position stratégique au carrefour des échanges : par sa position stratégique, le
Maroc aujourd’hui bénéficie d’extraordinaire potentialité en termes de