Louise michel
En 1851, elle poursuit des études à Chaumont où elle échoue le 1er septembre au brevet de capacité permettant d’exercer la profession de « sous-maîtresse ».
Le 25 mars 1852, à Versailles, elle obtient son brevet.
En septembre 1852, elle crée une école libre à Audeloncourt.
En 1856, elle vient s’installer à Paris où elle enseigne dans le quartier du Château-d’eau.
En 1865, elle ouvre une école au 24 rue Houdon.
En 1868, elle ouvre un autre cours rue Oudot.
Dès le mois d’août 1851, elle aurait rencontrée Victor Hugo.
De 1850 à 1879, elle entretient avec lui une correspondance. Puis lui adresse quelques poèmes.
En 1862, elle devient sociétaire de l’Union des poètes.
En 1869, elle est secrétaire de la Société démocratique de moralisation.
En août 1870, en pleine guerre franco prussienne, elle manifeste contre l’arrestation des blanquistes Eudes et Brideau.
En septembre, elle participe au Comité de vigilance des citoyennes du XVIII arrondissement de Paris, dont elle est élue présidente.
Le 22 janvier 1871, en habit de garde nationale, elle fait feu sur l’Hôtel de ville.
Les 18 et 17 mars, elle participe activement à l’affaire des canons de la garde nationale sur la butte Montmartre.
En mai, elle participe au combat de rue dans lequel elle tire ses derniers coups de feu ; elle se rend pour faire libérer sa mère, arrête à sa place.
Entre 1871 et 1873, elle passe vingt mois en détention à l’abbaye d’Aubervive et se voit condamné à la déportation.
Embarquée sur la Virginie en août 1873 pour être déportée en Nouvelle-Calédonie elle chante avec d’autres communards. Elle reste sept années en Nouvelle-Calédonie, refusant de bénéficier d’un autre régime que celui des hommes. Elle crée le journal « Petites Affiches de la Nouvelle-Calédonie » et édite « Légendes et chansons de gestes canaques ».
En 1878, elle cherche à instruire les autochtones kanaks et,