Macbeth : nature et mal

351 mots 2 pages

Français : Nature et mal

Problématiques : * Où et comment se situent nature et nature humaine relativement au mal? * le renversement des valeurs naturelles dans la pièce par celui qui incarne le projet du mal. * le mal comme régression absolue, radicale. * Nature et surnature, recherche du surnaturel

notions dans McBeth : - la nature incarne une forme d'ordre par rapport auquel le mal s'oppose vision de McBeth scène 3 acte 1 : "Si c'est bien pourquoi dois-je céder à l'idée Dont l'image d'horreur hérisse mes cheveux Et fait que mon cœur bien assis frappe à mes côtes Contre son mode naturel? [...] Ma pensée, où le meurtre n'est encore que fantasme, Secoue à tel point mon faible état d'homme Que la raison s'étouffe en attente, et rien n'est que cela qui n'est pas." - Néanmoins, la nature peut absorber une forme de monstruosité chevaux s'entredévorant :" - Aussi, le mal n'est pas tant ans la nature elle-même mais plutôt dans l'hubris, la dénaturation de la conscience. cf invocation de Lady McBeth :" Mais je crains ta nature, Trop pleine elle est du lait de la tendresse humaine [...] Chasser ce qui t'empêche de ce cercle d'or Par quoi le sort et le secours naturel semblent te couronner. [...] Unsex me here, et du front à l'oreille comblez-moi de la pire cruauté! [...] A la pitié interdisez accès et passage Afin que nul mouvement sensible de la nature N'ébranle mon dessein sinistre "

Nature humaine et mal : entre monstruosité et grâce

Problématiques : * Réactions possibles de "la nature humaine" confrontée à la monstruosité (voire responsable d'actes monstrueux) * Comment se situe l'humain relativement à la monstruosité/à la grâce?

- La

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La nature est-elle bien fait-elle ?
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Analyse sur le chevreuil et le chevreuil
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De plus, la nature étant fraîche et renouvelée, une mystérieuse « onde à l’écart recelée » (vers 7) attire la curiosité du chevreuil. Ce court d’eau inconnu étant à l’écart des distractions négatives est attirante aux yeux de l’animal. L’onde recelée démontre la pureté dont le chevreuil est attiré. Alors que la nature est encore innocente et pure l’addition d’une litote décrit par le narrateur démontre qu’il veut adoucir l’expression de son sentiment de liberté pour en faire entendre plus. « Libre folâtre où son pied le conduit : » (vers 8) explique que le chevreuil, inconscient des dangers parce qu’il est tellement enjoué d’être enfin libre, qu’il suit sa curiosité, sa faim d’explorer de nouveaux lieux purs.….

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Platon: amour - désir
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Si pendant qu'ils sont couchés ensemble, Héphaïstos leur apparaissait avec ses outils et leur disait : « Hommes, que désirez-vous l'un de l'autre ? » et si, les voyant embarrassés, il continuait : « L'objet de vos voeux n'est-il pas de vous rapprocher autant que possible l'un de l'autre, au point de ne vous quitter ni nuit ni jour ? Si c'est là ce que vous désirez, je vais vous fondre et vous souder ensemble, de sorte que de deux vous ne fassiez plus qu'un, que jusqu'à la fin de vos jours vous meniez une vie commune, comme si vous n'étiez qu'un, et qu'après votre mort, là-bas, chez Hadès, vous ne soyez pas deux, mais un seul, étant morts d'une commune mort.….

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la nature et la compréhension de "l'Esprit qui est en toute chose"... | " Nous avons toujours eu beaucoup; nos enfants n'ont jamais pleuré de faim, notre peuple n'a jamais manqué de rien...….

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Faut-il respecter la nature ?
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C'est pour cette raison que l'on devrait être poussé pour la respecter, la remercier. Cependant, il ne faut pas oublier que ce n'est pas par hasard que l'on a munit l'homme d'une conscience. Convenant très bien parfois à ne pas respecter la nature. Jean-Jacques Rousseau en a fait une constatation : pour l'homme l'état de nature n'existe pas, n'a peut-être pas existé et n'existera sans doute jamais. Le problème qui se pose semble être le suivant : respecter la nature s'est interdire de traiter la nature comme un simple moyen, doit-on alors la respecter ?….

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Etude d'un texte
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Il utilise la Nature, qui est un poids lourds et que personne ne peut contredire, ce qui rend son dialogue non-contredisable, la Nature étant une « force » des dieux. La Nature va poser des questions rhétoriques à cet homme dont la plus importante celle qui représente la thèse de ce texte l2: « Pourquoi, homme, donner tant d’importance à la mort […] ? » La mort est pour Lucrèce seulement une dissolution de l’ame et de l’esprit, aussi bien que du corps, elle est aussi la disparition de toute conscience et de tous souvenirs. Elle n’est donc pas à craindre car ou nous vivons et la mort n’est pas là, ou elle est là mais nous sommes entièrement détruits, et nous ne pouvons meme pas le savoir.….

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Dissertation de philo : l'homme fait-il parti de la nature ?
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Faire partie de la nature, est-ce se fondre dedans ou simplement exister à l'intérieur ? Nous nous demanderons si l'Homme fait partie de la Nature ou non. Dans un premier temps, nous verrons que l'homme se considère comme distinct, à part, séparé de la nature. Dans un second temps, on observe que, selon la science et la théorie de l'évolution, l'homme tient pourtant ses origines de l'animal et fait donc partie de la Nature. NON, l'Homme ne fait pas partie de la Nature….

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En fait, la nature engendre presque juste de belles choses, malgré qu’elle puisse produire également des monstruosités, mais celles-ci ne sont pas très pertinentes à prendre en compte, puisque ce sont des erreurs qui n’entrent pas en conformité avec la nature (Le Protreptique, 11-12). Bref, en ce qui a trait aux belles choses, pour Aristote, «tout ce qui est engendré d’une belle manière est engendré correctement» et «tout ce qui est engendré correctement est engendré en vue d’un but» (Le Protreptique, 11). C’est pourquoi la nature, au-delà de ses rares erreurs, engendre toujours en vue d’une fin. Par exemple, elle a accordé des ailes aux oiseaux pour qu’ils puissent voler et un bec pour qu’ils puissent manger. D’autre part, ce qui est supérieur à la chose engendrée par la nature c’est l’accomplissement du….

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Agrippa D’AUBIGNE – Les Tragiques Auteur : Agrippa d’AUBIGNE (1552-1630) a vécu au XVI° siècle, époque de guerre civile entre catholique et protestant, il était fervent protecteur du mouvement luthérien et combattait autant par la plume que par le feu Titre de l’œuvre : « Jugement » extrait de « les Tragiques » Organisation du texte : Le texte est un enchainement de vers, il est tiré du recueil de poésie « Les Tragiques » De quoi parle l’œuvre : La traite des protestants par les catholiques, les supplices des guerres civiles, le jugement de Dieu et de la Nature. L’apocalypse.….

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Malade imaginaire acte 1 scène 5
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