Dissertation de Philosophie

Sur notre planète, chaque être humain admets de nombreuses différences selon leurs cultures, leurs sociétés, leurs passés et leurs actes. Chaque vie paraît différente.
Pouvons nous s’accorder sur des vérités morales ? A priori, non.
Or, le fait d’accepter les choix d’un individu, serait ce plus ou moins une vérité morale ?
Ainsi, on se permet de poser l’hypothèse : « Peut t’on s ‘accorder sur des vérités morales ? »

Le relativisme culturel est le privilège de l’utilité, le succès de la modernité et le fait de respecter son peuple et s’approprié le droit de juger autrui.
Montaigne disait : « Nos croyances morales, déterminées par une coutume particulière, nous semblent au contraire, naturelles et universelles ».
La civilisation avait le droit à la raison alors qu’autrui n’avait aucun droit et considéré comme des barbares avec aucunes valeurs morales.
Lévi-Strauss nous partage la même idée avec l’ethnocentrisme.
Le progrès du développement vers une société idéale et l’image d’un peuple civilisé convergeant vers la modernité avaient le droit à la raison et au respect.
Alors que tous les peuples en retards économiques avec des coutumes différentes ne méritaient en aucun cas, la gratitude. De plus, il existe d’autre relativisme selon les philosophes tel que le relativisme descriptif qui suppose une morale juste visant à accepter la réalité telle qu’elle est. Toutes sociétés va chercher à interdire le meurtre or ce ne peut être le cas dans chacun des peuples.
Les cannibales mangeaient les cadavres des morts pour reprendre leurs énergies, or, pour d’autres civilisations, cet acte était considéré comme inhumain. Aujourd’hui aussi, nous pouvons retrouver cette idée de relativisme descriptif.
Par exemple, les anglais trouvent les français, pas très respectable à manger des grenouilles et des escargots, et inversement. Malgré que ceci peut être l’image d’un cliché.
Ainsi, on retrouve des normes très différentes