Mlancholia

1667 mots 7 pages
CORRECTION DU DEVOIR DE L’EPREUVE BLANCHE DE FRANÇAIS DU 15 DECEMBRE 2008.

Le commentaire
C’est pour faciliter la compréhension que je fais apparaître le plan. Il est évident que dans le devoir rédigé, tous les titres disparaissent au profit des transitions.
Introduction : La fable est un genre pratiqué depuis l’Antiquité. Le terme désigne un récit d’où on peut tirer une leçon, souvent accompagné d’une moralité. Les fables comportent donc une double dimension : elles distraient par un récit plaisant et elles instruisent par le biais des leçons que nous pouvons tirer du récit et de la moralité. La Fontaine, qui assure le succès du genre au XVIIème siècle, explique dans ses préfaces que son but est toujours de plaire et d’instruire (on commence par situer le texte en donnant quelques indications sur l’auteur, à condition qu’elles aient un rapport avec le texte, ou sur le mouvement littéraire auquel il se rattache : la lecture du paratexte est donc bien utile. Je commence ici par un rappel qui valorise mes connaissances sur l’objet d’étude et l’histoire littéraire). Ainsi la deuxième fable du livre I des Fables de La Fontaine, « Le corbeau et le renard » est une réécriture d’un thème traité par le fabuliste grec Esope au IVème siècle avant J.C et déjà repris par le fabuliste latin Phèdre. Qui ne connaît pas la ruse du renard qui, par la flatterie, réussit à obtenir le fromage du corbeau ? Cette fable, connue de tous les écoliers, est pourtant une matière à débat contradictoire entre Rousseau, qui en fait une analyse critique vers par vers dans son traité d’éducation l’Emie la jugeant peu morale, et l’helléniste J. De Romilly, qui en vante les mérites. ( on présente le texte lui-même en résumant rapidement le contenu, puis en indiquant le problème central qui sera traité ; notez que cette étape est mise en valeur par le connecteur ; ici le corpus m’aide à enrichir ma réflexion sur le texte). En quoi la fable « Le corbeau et le renard » constitue-t-elle une

en relation

  • Synthèse sur le rire
    852 mots | 4 pages
  • Mesguiche
    518 mots | 3 pages
  • Melancolia
    7837 mots | 32 pages
  • L'ingenu
    1073 mots | 5 pages
  • L' apologie de la lâcheté
    1730 mots | 7 pages
  • Malaussène
    731 mots | 3 pages
  • melanie
    1128 mots | 5 pages
  • Pascal
    567 mots | 3 pages
  • Maloulalune
    853 mots | 4 pages
  • mavieenmieux
    1375 mots | 6 pages
  • I don't no
    312 mots | 2 pages
  • Est-il vrai d’affirmer que, dans Le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme ?
    550 mots | 3 pages
  • LA FONTAINE
    436 mots | 2 pages
  • Dsdsfsf
    430 mots | 2 pages
  • bestiaire
    1800 mots | 8 pages