Je suis un bon gars.hahahhshshsbhshshdhdbbdben djshdvbed. dhdbd dhd s dsh s djd shsbsjjansgskdbf de djnebsjqbsvejebeieebr dndnwbskanbsbejsnwbhskebbsbws e sjenebsjeneb Le problème est d’abord celui de la conscience de soi. Il est en effet important de voir si elle nous permet vraiment de se connaître soi-même. La conscience de soi est la conscience qu’à le sujet de son unité et de son unicité, c’est donc la première étape indispensable pour se connaître que l’on atteint vers l’âge de trois ans. La partie consciente de mon individu est le Moi. Je peux affirmer que je la connais puisqu’elle est soumise au principe de réalité – c’est-à-dire que concernant le domaine du vrai elle ne peut être remise en question. C’est-à-dire qu’en analysant mes pensées conscientes j’atteins une certaine connaissance de moi-même. Or, comme le montre Freud dans Métapsychologie, il y a des phénomènes inexplicables par la conscience que l’on ne peut que qualifiés d’inconscient. En fait, selon Freud, le sujet est multiple : il est composé de sa conscience qu’il connaît et maîtrise mais il a aussi une part inconsciente qui contient notamment ses pulsions et désirs inavouables, notamment la libido. Les actes inexplicables sont donc originels du domaine de l’inconscient. Cela montre que la conscience de soi est une connaissance limitée de soi-même puisqu’une partie de nos pensées nous est inaccessible.

En quel sens le langage constitue-t-il le réel?

Si la réalité est une totalité indifférenciée, comment l'exprimer avant que le langage ait isolé des objets?

Une appellation isole et fait apparaître un phénomène. Par exemple, le spectre solaire: le français distingue violet, bleu, vert, jaune, orangé et rouge. Mais le spectre ne présente pas ces distinctions puisqu'il y a un continu du violet au rouge. on comprend que, par exemple, le gallois, n'utilise qu'un mot là où nous distinguons le bleu et le vert. Cela signifie que toute implique une conception du monde: nommer c'est constituer