Molière ou jean-baptiste poquelin
D’une part, la farce est un genre théâtral dont le but est de faire rire l’audience. Au 17eme siècle la farce était un procédé théâtral associé au peuple et au petite gens car les pièces étaient souvent grossières. Les aspects de la farce qui sont présents dans la pièce « L’ecole des femmes » sont, tout d’abord, la grossièreté des gestes considérer comme grossiers au 17eme siècle, tel que jeter la pierre a quelqu’un, ce qu’Agnès fait a Chrysalde âpres qu’Arnolphe le lui ai ordonné.
Une autre caractéristique de la farce présente dans ce texte est l’acrobatie verbale, ou le quiproquo. Par exemple, quand Arnolphe attend devant la porte et que les domestiques se battent pour savoir qui aura a lui ouvrir la porte, mais des qu’ils on su que s’était leur maitre ils se sont a nouveau battu pour savoir qui est celui qui aura l’honneur de lui ouvrir la porte.
D’un autre cote, la comédie est un genre théâtral dont le but est, tout comme la farce, de faire rire. Mais contrairement à la farce le comique est beaucoup plus subtil, et c’est pour cette raison que la comédie est associée à la bourgeoisie. Les aspects de la comédie présents dans le texte de « L’ecole des femmes » de Molière sont, premièrement, l’humour subtil dans les conversations entre Chrysalde et Arnolphe, par exemple quand les deux discutent des barbons et des cocus, et du multiple type de cocus qui existent