Monsieur
Commentaire de texte Nietzsche, Par-delà le bien et le mal, §268
Observations :
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Ce texte nous présente une réponse à la question initiale . Nietzsche donne sa propre définition au terme de . Sa pensée nous parait claire dans un premiers temps, car il traite la connaissance des mots et de la langue comme universelle et maitrisé chez les divers peuples. Cependant il remet cela en question directement à la ligne suivante en expliquant qu’il n’était pas possible de pouvoir se comprendre avec d’autres peuples. La raison est que l’emploi des mots dans chaque langue diffère. Nietzsche est de l’avis que chaque peuple à sa propre culture, coutume et surtout son propre langage, un terme sur lequel nous reviendrons dans une seconde partie. Cet extrait de Par-delà le bien et le mal édité en 1886 pose cependant problème au niveau des aspects que l’on a en commun avec un individu ou un peuple ou non. C’est alors que la question se pose, si les peuples se rassemblent par le biais du commun ou si l’on crée le commun par un rassemblement de plusieurs individus formant un peuple ?
Nietzsche estime dans la ligne 7 que des individus venant d’un même peuple se ressemblaient plus qu’à des individus venant d’une autre culture, pratiquant un autre langage, qui leur est inconnu. Donc il affirme dans un premier temps que le commun entre deux individus est l’outil qui mêle deux personnes l’une à l’autre. Il soutient cette thèse par le biais d’un second argument qui est celui de la relation amicale et amoureuse. , Dans ce passage Nietzsche énonce clairement que la liaison qui se crée entre deux individus doit être impérativement commune pour qu’elle soit durable. Donc l’auteur nous énonce son point de vue que le commun est l’outil réunifiant deux personnes ou plus dans une liaison amicale ou amoureuse, ce qui a pour conséquence que deux individus n’ayant pas de culture en commun ou un langage différent n’auraient par