Mort fin de partie
Term L-ES
Les contrastes territoriaux du développement du Brésil
Voici un plan de légende qui reprend les figurés du croquis proposé par le manuel (Term. Ciattoni Hatier 2008, p. 289), mais les organise autrement, sur une base régionale et non thématique (sauf pour la première partie) pour faire ressortir le thème central des contrastes territoriaux.
I) Un développement territorial contrasté qui porte la marque du passé colonial un peuplement contrasté, qui oppose plein (la région côtière de São Paulo) et vide (l’intérieur, en particulier l’Amazonie) les 3 figurés (points serrés / points espacés / pas de points) correspondent aux densités suivantes : (voir carte p.280) densités élevées : + de 50 habs au km² (NB: France = 110 habs / km²) densités moyennes à faibles : entre 1 et 50 habs / km² densités très faibles : moins de 1 hab / km² des déplacements de la capitale ont accompagné une conquête progressive de l’intérieur et une volonté de rééquilibrer le territoire au XXe s. : faire une flèche de couleur qui part de Salvador de Bahia (capitale, de 1549 à 1763) pour aller à Rio de Janeiro (capitale, de 1763 à 1960) puis Brasilia (depuis 1960).
II) Le Sudeste et le Sud, cœur économique et démographique le cœur économique du pays : le Sudeste (rouge) dominé par le polygone des métropoles (violet) qui s’inscrit dans le cœur des métropoles du MERCOSUR (pointillé jaune)
Brésil fortement inséré dans la mondialisation :
< pastilles et flèches bleues : ports d’exportations des matières premières
< trait bleu à barbules : façade maritime
< flèche verte pointée sur São Paulo : concentration des IDE entrants le Sud en expansion, à sa périphérie immédiate (saumon)
III) Des périphéries dont le dynamisme dépend de la proximité au coeur le Nordeste (en gris-bronze), tête-de-pont de la colonisation portugaise au XVIe-XVIIe s. (Salvador de Bahia fut capitale, en 1549-1763), marginalisé depuis le XIXe s. le Mato