Moteur synchrone et asynchrone
Comparaison entre les moteurs synchrones et asynchrones
Synchrone
Vitesse du rotor égale à la vitesse du champ tournant indépendante de la charge L’augmentation de la charge provoque une variation du déphasage entre le rotor et le champ tournant
Asynchrone
Vitesse du rotor plus petite que la vitesse du champ tournant (sinon, pas de couple). L’augmentation de la charge fait diminuer la vitesse. (augmentation du glissement plus de variation du flux dans un matériaux conducteur de courant dans le rotor et de couple. Le rotor est constitué de bobinage en courtcircuit (p.ex cage d’écureuil) Certains gros moteurs ont la possibilité d’ajouter des résistance série pour diminuer le courant dans le rotor donc le courant d’alimentation « moteur à bagues » Robuste, peu d’entretiens
Le rotor est constitué d’aimants permanents ou d’électroaimant. Dans le deuxième cas, on doit fournir un courant d’excitation au rotor (bagues de connexion)
Bon rendement (0.985 pour gros alternateurs) Facteur de puissance réglable en fonction du courant d’excitation
Démarrage en direct sur le réseau (grand couple de démarrage).
Inconvénients : Inconvénients :
Pour les moyens/gros moteurs (électroaimant), demande un entretiens des bagues. Si on demande trop de couple à un moteur synchrone, il décroche. Le couple chute alors à zéro, plus d’effet moteur. (sécurité !) Ne permet pas un démarrage en direct sur le réseau (possible pour les moteurs autosynchrones hybrides, ils possèdent une cage d’écureuil qui permet d’atteindre la vitesse synchrone à vide accrochage) La vitesse dépend de la charge Pour les moteur de moyenne et grande puissance et à temps de démarrage long (inertie) , il faut gérer la pointe de courant de démarrage égale à 6-8 fois le courant nominal. Le cos ϕ à vide est très faible (non réglable) Rendement moins bon (0.9 pour gros moteurs)
Utilisation :
JFPN Production d’énergie (alternateur à bon