L’Alcatraz Analogue
Le Sergent-chef Roswel Ahios est un soldat de l’armée française spécialisé dans les missions dites « délicates » arborant fièrement l’écusson qui caractérise sa section, un dragon blanc crachant une majestueuse flamme bleu sur fond noir scratcher sur sa tenue de combat, une coupe de base ainsi que des yeux d’un gris pale et profond. C’est un homme complexe et unique en son genre. Il effectue une mission d’extraction banale en Albanie. Elle ne se déroule pas comme prévue et se solde par la mort de la principale cible à secourir. Le sergent se trouve à l’instant présent en pleine séance de débriefings avec ses supérieurs et sa section, éreinté par les efforts fournis. Il se trouve dans un état de semi-somnolence. C’est à ce moment précis que déboule à vive allure un homme essoufflé, en tenue de camouflage dans la salle B98 ! Il scrute la salle et semble chercher une personne en particulier, ses yeux injectés de sang me rappelle les sentiments de haine de mes ennemis et je bascule dans une semi somnolence ou j’entrevois les horreurs du monde. N’ayant pas trouvé ce qu’il voulait parmi la multitude de soldats, il se met a scandé : - Qu’il se montre ! Vien Ahios, je t’attends ! Tu n’es qu’un dégonflé, un cloporte qui rampe devant la moindre difficulté et qui ne peut rien faire de bon ! Ces simples insultes me tire brutalement de ma torpeur, je me dresse de toute ma hauteur, le toise du haut de mes un mètre quatre-vingt-dix et rugit: - Comment ose tu soldat, mais toi en garde avoue décline ton identité !! Nous sommes tous surpris, il se dirigea en quelques bonds sur moi avec son couteau clouent tout le monde sur place. Son kabar file droit sur mon cœur, j’avais au préalable, retirez ma tenue de combat trop lourde pour ses longues séances de débriefing et je me trouve sans protection, mon esprit tourne à toute vitesse. J’avais récupéré en grand partie ma vivacité d’esprit même si je n’étais tout de même pas au maximum de mes capacités intellectuelles