Nuit d'encre pour farah
Malika naquit le 18 novembre 1967 dans la région du Centre. Toute petite, elle se découvrit une passion pour l'écriture et la langue française.
Avant d'écrire un vrai roman, elle commença par écrire des nouvelles. En 2005 , elle publia son premier roman, Nuit d’encre pour Farah , récompensé par le Prix de la Première œuvre de la Communauté française de Belgique et nommé pour le Prix des Lycéens (Belgique) en 2007. Aujourd’hui, elle vit à La Louvière.
Nuit d'Encre pour Farah aux éditions du Cerisier
Ce roman, qui situe l’action à notre époque, raconte l’histoire d’une famille algérienne immigrée en Belgique et vivant dans une petite ville du Centre. L’héroïne, qui donne son prénom au roman, est la plus jeune de trois enfants, trois filles : Latifa, Lila, et donc Farah. Les parents les éduquent en suivant leurs traditions, c’est-à-dire qu’elles doivent savoir faire le ménage, la couture et la cuisine pour devenir une bonne épouse et une bonne mère. Mais Latifa et Lila, surtout, acceptent difficilement cette situation. Elles veulent plus de liberté. Farah, par contre, échappe à ces obligations parce qu’elle n’a que 17 ans. De plus, elle étudie, lit tout le temps et rêve de devenir professeur de littérature. Un jour, ne supportant plus leur situation, Latifa et Lila décident de fuguer. Quand les parents découvrent le pot aux roses, ils interdisent à Farah d’aller présenter son examen de français. On décide ensuite de la marier à l’homme que Latifa devait épouser. Désormais, elle va vivre avec lui en Algérie. Pour des raisons d’honneur, ses parents ont brisé tous ses projets d’avenir. Que va-t-elle devenir ?
Notre analyse :
roman cyclique (on ne comprend le début qu’une fois qu’on arrive à la fin)
2 parties bien distinctes : o la