Ode au soleil
Le soleil
Après les ténèbres vint une lumière si éblouissante que mes pupilles ne purent la contempler dans toute sa splendeur. Contrairement à sa jumelle nocturne aux doux rayons d’un argent paisible, le Soleil m’illuminait d’une intensité nouvelle, projetant sur moi, tel d’ardents jets de feu rougeoyants, ses rayons incandescents.
Ils englobent / mon corps physique et céleste dans un incomparable sentiment d’ivresse, qui, au soir tombé, s’évapore. Il me laisse dans l’attente de son retour nuancé d’un rose romantique et d’un rouge flamboyant, d’un orange langoureux et d’un jaune électrisant.
Que dire de ces longs mois de grise température où ta présence / est mythique, toi qui es si égoïste de te laisser désirer. Mon cœur désespère dans l’attente vaine de revoir un jour ton or me revenir et me chérir.
Oh soleil, que je t’aime.
Après les ténèbres vint une lumière si éblouissante que mes pupilles ne purent la contempler dans toute sa splendeur
Contrairement à sa jumelle nocturne aux doux rayons d’un argent paisible le Soleil m’illuminait d’une intensité nouvelle projetant sur moi tel d’ardents jets de feu rougeoyants ses rayons incandescents.
Ils englobent / mon corps physique et céleste dans un incomparable sentiment d’ivresse qui, au soir tombé, s’évapore
Il me laisse dans l’attente de son retour nuancé d’un rose romantique et d’un rouge flamboyant d’un orange langoureux et d’un jaune électrisant
Que dire de ces longs mois de grise température où ta présence / est mythique toi qui es si égoïste de te laisser désirer
Mon cœur désespère dans l’attente vaine de revoir un jour ton or me revenir et me chérir.
Oh soleil que je t’aime.