Oeuvre de fiction
D’après les textes de notre corpus qui sont des extraits de « Epître au Roy » de Cl. MAROT écrit en 1527, « Traité sur la tolérance » Chapitre I de Voltaire en 1763 et « L’Etranger » deuxième partie, chapitre IV rédigé en 1942, nous nous posons la question suivante : Les œuvres de fiction vous paraissent-elles le meilleur moyen de convaincre le lecteur ? Ou encore, peut-on dire que les œuvres de fiction sont un moyen efficace pour convaincre ? En première partie nous étudierons la thèse de ce sujet, puis dans un second temps nous verrons l’antithèse.
I - La thèse de ce corpus
A - Influence des œuvres de fictions sur le lecteur Pour commencer, nous pouvons définir la notion de convaincre, l’idée de ce verbe est d’informer le lecteur, de l’émouvoir ou encore de plaire. Nous remarquons que les œuvres de fictions ont une certaine influence sur le lecteur. Avec les idées citées dans les textes, le lecteur va prendre exemple en quelques sortes sur ces citations. En présentant un aspect juridique dans le texte de Albert CAMUS, ligne 15 : « Jusqu’au moment, du moins, où l’avocat général s’est arrêté et, après un moment du silence, a repris d’une voie très basse et très pénétrée : « Cette même cours, messieurs, va juger demain le plus abominable des forfaits : le meurtre d’un père. » », le lecteur va être influencé par cette phrase et va comprendre en même temps que tuer son père ou tout autre individu est très mal et puni par la loi. L’auteur veut influencer ses lecteurs en mettant des exemples dans son texte et espère dans tous les cas faire comprendre son idée. Donc, si l’on veut définir un premier point pour cette thèse, ce serait l’influence portée par l’auteur envers ses lecteurs. B - Plusieurs discours sous différentes visions En second, nous constatons que dans les œuvres de fictions, en particulier dans celles de notre corpus, plusieurs discours sont utilisés, sous différentes visions. Nous pouvons remarquer que des visions se font à