Explication du texte : Paris par Paul Verlaine

Dans le poème, il s’agit de Paris dans la XIXème siècle qui prononce sa supériorité mais ignore les poètes qui bravent les usages et dépeignent la vie d’une manière décadente. Le poète, Paul Verlaine est un précurseur majeur du symbolisme qui comprend les thèmes de la fatalité, du sexe, de l’alcool et de la grande ville. Ce n’est pas étonnant que le poème, Paris, ait la plupart du thème pareil, signant l’air caractéristique de Paul Verlaine. De plus, ce poème peut divisé en trois parties comme les suivantes : « l’éloge de Paris », « le coté sinistre de Paris » et « les souffrances de poète de symbolisme ». A travers le poème, Verlaine, caractérisé par l’usage de la cadence de vocabulaire, emploie répétition de la phrase « Paris n’a…que » et schéma rimique de variation de la structure « abba ».

En première partie, afin d’accentue la contradiction avec la perspective triste des poètes, Verlaine commence par décrire la beauté de Paris. De plus, il place l’histoire de la ville exactement au début de l’écrit pour que la position antithétique du mot « histoire » souligne l’opposition de la poésie traditionnelle entre celle des symbolistes. Puisque le « vert clair [de la Seine] seul vaut la gloire [à Paris] », tout avantage de Paris ce que Verlaine suggère peu ou prou qu’ils ne sont que des éléments de Paris, sans contribuer à sa gloire. En outre, il semble que Verlaine donne Paris les louanges les plus supérieurs en disant que la gaîté parisienne est le bagou de langue. Car la langue et le bagou d’elle sont l’essence de la littérature d’autant plus pour Verlaine qui est un symboliste qui apprécie le rythme du lexique plus que le rhétorique. Il peut paraître un peu farfelu mais il est aussi probable d’analyser que Verlaine attribue la joie de vie « trop fade » aux poètes comme lui-même quand il écrit :
Mais ce bagout, encor qu’assez immonde,
Il fait le tour des langages du monde,
Salant un peu ce trop fade ragoût