Pathologie 3 : Altitude

Aller à la conquête de l’Everest peut être un beau défi pour les sportifs mais aussi un danger pour le système respiratoire. Plus on est en altitude moins il y a d’oxygène donc il y a moins d’O2 inspirer. Ce qui va se produire c’est que les stimulus qui activent la respiration sont premièrement le fait qu’il y a beaucoup de CO2 présent dans le corps et aussi la baisse d’oxygène, mais ce stimulus est beaucoup moins important. Donc, dans le cas d’une augmentation de CO2, il y aura une réaction et c’est l’hyperventilation c’est-à-dire une plus grande capacité des muscles intercostaux externe et le diaphragme à plus se contracter pour inspirer le plus d’oxygène possible, ça va faire en sorte que le taux d’oxygène va monter et le taux de dioxyde de carbone va baisser. Vu qu’il a une trop grosse baisse de CO2 cela va entraîner une alcalose respiratoire et cela engendre par la suite une dénaturation des protéines et c’est dangereux. Pour régler ce problème, la réaction du corps est de faire une hypoventilation mais en faisant sa le taux de CO2 augmente ce qui fais que l’oxygène diminue et on revient au problème initial. On remarque ici l’alternance qu’il y a entre hyperventilation et hypoventilation. Cette fois-ci après la baisse d’oxygène les reins vont fabriquer des globules rouges, mais ça prend 5 jours pour en fabriquer, la personne va être fatigué dû à l’alternance, il y en a jamais un qui est égal comparer à l’autre.

En altitude, on peut aussi observer un autre phénomène, quand on est en altitude, toutes les alvéoles sont en manque d’oxygène, Si on prend le principe du couplage ventilation-perfusion, on ira faire une vasoconstriction générale dans la circulation pulmonaire, donc il y a une augmentation du PHc et vue que les vaisseaux sont très petit, il y une augmentation des sorties de liquide et cela engendre de l’œdème pulmonaire.

Il faut faire attention aussi en altitude par rapport à la diminution du taux d’oxygène, car