personnage de roman
Du héros à l’anti-héros
Le personnage principal du roman s’oppose au héros antique ou à celui du théâtre tragique, il n’a pas la grandeur et la noblesse des héros légendaires. Il incarne des sentiments et un parcours qui pourrait être celui d’un lecteur.
Depuis le XVIIe siècle, les romanciers cherchent à faire vivre les personnages qui soient proche de leurs lecteurs et de leur quotidien. Le « héros » est alors dénommer comme étant le pivot du roman et non comme un demi-dieu. Le roman met donc en scène, un personnage qui est face au monde, un être nuancé au réaction complexe et diverses. Le héros incarne les désirs d’exploration et d’ambition dans les romans d’aventures et d’action. Le personnage est soumis au loi de la passion et est pris dans des contradictions du doute et de ses sentiments et de ses désillusions. Dans les romans d’analyses, le protagoniste cherche à affronter le monde et à vide d’ascensions sociales dans le roman réaliste. Contrairement, au sens étymologique, le héros du roman n’est pas un demi-dieu de légende, il est plus proche de la réalité. Il a donc la capacité d’une part d’exprimer des nuances des individus et d’autre part d’incarner différentes conception de l’homme selon les époques.
Les quatre extraits présentent quatre héros différents. Tout d’abord, le vicomte de Valmont, personnage de libertin sinique et manipulateur fait figure de héros négatif, dépourvu de moral parce qu’il s’amuse de sa victoire amoureuse sur les femmes qui lui a résisté. La lecture qu’il adresse à sa confidente la marquise de Merteuil témoigne de sa satisfaction en terme militaire qui réduise la personne aimer au seul plaisir de la conquête. Ce personnage cumule les faits distinctifs du héros négatif portant de contre-valeur : l’égoïsme, la suffisance, l’arrogance, la romance mépris pour la faiblesse différente au sentiment amoureux.
L’excipit de Germinal évoque le départ d’Etienne Lantier après l’échec du soulèvement des