Peut-on dire que candide, protagoniste du "conte philosophique" homonyme de voltaire, se modifie tout au long du récit?
2818 mots
12 pages
1. Peut-on dire que Candide, protagoniste du "conte philosophique" homonyme de Voltaire, se modifie tout au long du récit? Dans le livre Candide, Voltaire nous livre un conte philosophique tragique. Les malheurs les uns les plus horribles que les autres s’enchaînent tout au long du récit. Les personnages sont accablés de tragédies qu'on ne peut pas imaginer avant de les avoir lu. Pourtant parmi tout ces malheurs et ces tragédies un personnage, Candide, reste impassible, croyant fervemment que tout homme est bon et n'a pas d'arrière pensée, que tout va bien, et que tout doit se passer de la façon dont il en est parce que tout a un motif. Expulsé du château où il vivait pour avoir embrassé la fille du baron. Château que pour lui était le meilleurs du monde, il se désole de ne plus y habiter. La-bas il était en quelque sorte le disciple du philosophe du château qui lui enseignait "la métaphysico-théologo-cosmolonigologie (p.03)." Qui consistait sur le fait "qu'il n'y a point d'effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux et madame la meilleure des baronnes possibles (p.04)." Pangloss croyait et expliquait au jeune Candide que "tout étant fait pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin (p.04)." Innocemment et même après avoir été expulsé du château, Candide croyait à la philosophie de Pangloss, c'était la seule réalité qu'il n'ai jamais connue et Pangloss ne pouvait pas se tromper. Hors de ce château, Candide fera un grand voyage, qui sera une vraie expérience de vie, ce dont il avait besoin, et ce voyage lui fera découvrir le vrai monde. Il se retrouve au milieu de la guerre entre les bulgares et les Abares et souffrant des malheurs de cette guerre horrible, il fuit, et se retrouve en Hollande. Il a "entendu dire que tout le monde était riche dans ce pays-là, et qu'on y était chrétien, il ne douta pas qu'on ne le