Dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, il n’est stipulé dans aucun des amendements, que les hommes ne peuvent pas rire de tout. Le rire est aussi un cadeau divin dont seul l’homme peut jouir. Des lors se pose le problème que dans certaine situation le rire n’est pas adaptée à toutes les situations. Alors où se trouve les limites du rire ?

Le rire n’est pas condamné par la loi. Dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, chaque homme a la liberté de faire ce qu’il veut et la liberté de s’exprimer ouvertement. Le rire étant un moyen d’expression, et aussi un droit innée à chacun personne, il ne peut interdire ou ordonné que rire est une infraction. En effet la loi prévoit que la liberté est accordée dans la limite qu’elle respecte les droits d’autrui. Par respect on entend la sécurité physique de chaque personne ainsi que le respect de toutes les idées, croyance, et appartenance de la personne. Or pouvons nous dire que l’humour, et donc le rire, ne respecte pas cette amendement de la constitution ? Le rire puisse t-il empêcher quiconque de penser ce qu’il souhaite, de se déplacer où il veut, de croire à l’idéal de son choix, religieux ou politique, de travailler comme il l’entend ? Bien-sûr que non. Le rire peut être critique, mais il n’impose rien. L’humour n’est pas une action liberticide alors que le condamné serait bafoué la liberté. C’est pour cela que les régimes totalitaires où même encore l’église, dans le passée, condamnait le rire car il tourne en ridicule les dogmes farfelus qu’ils essayent d’imposer par la force. L’humour est capable de porter en son sein les causes de la révolte. Le rire nous maintient éveillé, et évite de se laisser gouverner par le sérieux qui se voudrait absolutiste, ou dans une moindre mesure visant le politiquement correct. Simone de Beauvoir dit au sujet du sérieux qu’il « y a sérieux des que la liberté se renie au profit des fins qu’elle prétend absolues ». Cela voudrait dire