Philo Le Moi
Chapitre 1 :
Mot qui désigner ce qui est commun à tout homme (ce qui est universel). Condition humaine universelle =/= situation humaine (singulier)
Etre : peut renvoyer au fait d’exister, ou renvoie à l’essence
Exister implique l’existence. L’humain a conscience d’exister, pourquoi on existe ?
Engel : Existence en soi → existence sans conscience, chose à l’état brut Existence pour soi → Existence consciente, être spectateur de soi au point de s’étonner de son existence.
Exister : ex+sistere = sortir de, naitre de. Créer au moyen âge par Saint Thomas d’Aquin. Pour chrétiens → sortir de la lumière divine, ns sommes les créatures de Dieu. Mot à connotation religieuse, l’H n’existe pas par lui-même.
Texte de Pascal, LES PENSEES.
→ Qu’est ce que l’H ds la nature ? Pascal : un rien au niveau de l’infini mais il possède une qualité que l’univers ne possède pas : il pense. Il pense sa fragilité → cela fait sa grandeur, sa dignité. Sans grandeur est de prendre conscience qu’il est un être fini, limité, mortel. La finitude de l’H renvoie donc au fait que l’H est conscient qu’il est un être fini et mortel. L’esprit fait la grandeur de l’H .
I)L’infiniment grand
Il y a une incitation à détourner notre regard des objets « bas » et de ns intéresser à la nature. Il critique notre façon ordinaire et habituelle de voir le monde. Ce que l’H regarde, ce sont les objets utiles à son quotidien. Pascal dit qu’il y a des choses + importantes. On doit élargir notre regard, repousser limites de notre champs de vision jusqu’à constater qu’il n’y a plus de limites. La nature est tellement sublime qu’on oublie de la regarder au quotidien. On doit s’étonner que la Terre ne soit qu’un point dans l’espace : notre champs de perception est lui-même limité au regard de la Nature « Tout ce monde visible n’est qu’un trait perceptible dans l’ample sein de la nature ». La pensée de notre savoir est limitée. H a un corps limité : on invente des outils