Frénétique : avoir un violent engouement pour quelque chose.
Si le corps prend trop de place, l'âme sera écrasée.
Limiter la place et l'importance qu'a le corps pour privilégier la santé de l'âme.
La santé de l'âme peut être exercée « jour et nuit » (ligne15), dans le froid où dans la chaleur (ligne 16), n'importe quand et n'importe où, contrairement à la santé du corps.
Plus on prend de l'âge, plus on accorde de l'importance à la santé de l'âme. En effet, on utilise plus notre mémoire pour raconter ses souvenirs, par exemple, et on à acquit beaucoup plus de connaissances.
La santé de l'âme est impérissable comparée à celle du corps.
Avec l'âge et le temps, le corps vieillit mal, on ne peut plus faire autant d'exercice physique qu'avant, autrement dit, on ne pratique plus beaucoup avec le corps mais surtout avec la tête, par obligation. Sénèque dit qu'il faut décider (nottament quand on est plus jeune et qu'on à le choix), d'accorder plus d'importance à l'âme plutôt qu'à son corps (et donc à son physique).

Etapes :
Aborde le sujet par la question d'une formule de politesse
Dévie en transformant la formule version philosophe
Philosopher : être en bonne santé.
Pour être en bonne santé au niveau du corps il faut faire simple et préférer accorder de l'importance à la santé de l'âme.
Quand on pense plutôt à la santé du corps, c'est à dire la santé physique, comme Lucilius dans ce texte; Sénèque fait une comparaison avec un animal« jamais tu n'égaleras les forces ni le poids d'un boeuf gras » ligne 11-12, ce qui est péjoratif car un boeurf ne réfléchit pas.
Conseil : privilégier la santé de son âme, car celle-ci n'est pas dure à exercer, on peut le faire n'importe où, n'importe quand et à n'importe quel âge.