NEGRE
Virginie
TES 2

Dissertation d économie

Notre société devient de plus en plus méfiante à l’égard du progrès technique ; que ce soit pour les produits pharmaceutiques, les OGM, la robotique pour des raisons d’étiques ou de santé ou encore pour leurs emplois. Depuis sa création en 1898, jusqu’à nos jours le statut de salarié à changé à de multiples reprises. Sont désignés comme salariés les individus étant sous la subordination d’un employeur et recevant en contre partie une rémunération ; les contrats de travail proposés peuvent être de différents types (Contrat Durée Indéterminé, Contrat Durée Déterminée…). Ils ont donc un emploi, dit typique ou atypique en fonction de leur contrat qu’ils négocient seuls. Le salarié est un ménage à la fois consommateur et producteur. Le Progrès Technique, quant à lui, correspond à l’accroissement des connaissances des lois de la nature qu’ont les hommes appliqués à la production. Il permet l’apparition de nouveaux procédés et productions qui augmentent le bien-être des individus soit par un accroissement, soit pas une transformation de la consommation. Dans les pays développés depuis la Révolution Industrielle, le progrès technique n’a cessé de croitre. De nouvelles innovations en biens et services, productions et organisations ont fait leur apparition dans le domaine privé mais aussi dans le secteur du travail. Celles-ci ont permis de nombreux changements au niveau de l’emploi.
Dans quelle mesure le progrès technique est il néfaste ou bénéfique aux salariés ?

Dans un premier temps, nous pouvons dire que le progrès technique à été bénéfique aux salariés, tout d’abord par l’introduction d’innovations bouleversantes dans le monde de l’emploi. C’est innovations (c'est-à-dire l’application à des fins économiques d’une invention) ont permis de faire passé le salarié d’un statut peu enviable à un statut désirable par les travailleurs. En effets, dans les années 1945 en Amérique, Ford