Quartier Populaire, banlieues, ghettosI Retour sur la construction de logements sociaux après la Seconde guerre mondialeLa construction d’habitation social est dû à trois phénomènes : destruction de certaines parties de la ville à cause de la guerre (500 000 logements détruits), démographie croissante avec l’exode rurale et l’immigration notamment dans les années 50 et 60 d’origine nord Africaine et de l’Algérie. A – Les besoins en logementTrois grande période dans l’immigration algérienne : 1. …afficher plus de contenu…

Besoin de BTP, on fait venir des algériens par des recruteurs envoyé par des usines et cherchent des jeunes hommes, prêt à partir. Embauché à 70 % comme manœuvre et à 30 % comme ouvrier spécialisé. Se dvp des bidonvilles, des foyers autour des grandes villes = mal-logement pour ces populations. Certains entreprises construisent des logements autour de leur travail, s’ajoute un climat difficile qui mène à la guerre d’Algérie. Le 17 octobre 1961 : manifestation de français d’Algérie pacifiste interdite qui à donné lieu à des bavures policières => des gens ont été jeté dans la Seine. Le 8 février 1962 : Charonne mort de 10 français pour l’indépendance qui se sont fait …afficher plus de contenu…

A partir de cette période, cela devient publique en construisant de manière massive des logements pour toute les personnes cherchant un logement. En 1948, le ministre de la reconstruction et de l’urbanisme est nommé et reste en place 6 ans : Eugène Claudius-Petit. Il est le premier à considérer la construction de logement comme aussi importante que la reconstruction de l’économie après-guerre. Il lance le premier « grands ensembles ». En 1950, la loi « Habitation à Loyer Modéré » (HLM) est crée, elle cadre les logements : surface minimale des logements selon le nombre d’habitant, une salle d’eau doit être obligatoire. Apparaissent les première allocations logements. En parallèle des circuits de financement sont crée pour encourager la construction. Création de la caisse des dépôts et consignation (CDC) = banque publique pour les communautés territoriales qui prêtent de l’argent