Qui suis je
Esther Hayon
HAYE13528708
PEF2415
Sylvie Bourcier
Université de Montréal
Mercredi 12 Mars 2008
Découverte personnelle : Toile d'araignée case 34 Épreuves de la montagne (p.8):
Dans notre besoin d'amour, notre peur de l'isolement, il nous arrive de suivre des voix, des influences au mépris de ce que nous sommes vraiment. Nous subissons une influence, suivons un chemin loin de notre destinée. Nous nous retrouvons alors dans une alliance nuisible a notre développement, déconnecte de notre intuition. C'est un faux sentiment d'appartenance au mépris de sa propre identité. S'effacer pour plaire à l'autre dans la relation amoureuse est une erreur que j'ai parcourue récemment. J'ai compris avec du recul qu'il faut d'abord se connaitre avant de s'efforcer à connaitre l'autre. Si on fait tout pour plaire a quelqu'un d'autre, on finit par ne plus être nous même. L'erreur c'est que si on change pour quelqu'un d'autre que soi-même c'est qu’au fond de nous il y aura une sorte de frustration liée à notre perte d'identité. "Pourquoi ne m'aimes-t-il pas comme je suis ? Pourquoi ne m'accepte il pas avec mes qualités ainsi que mes défauts ?" Il faut travailler sur soi-même seulement si nous ne sommes pas satisfaits de qui nous sommes, et de qui nous voulons devenir. C'est la raison pour laquelle les gens à travers toute leur vie travaillent sur leurs defauts. La remise en cause d'autrui pousse à travailler cet aspect négatif car lorsqu'on voit que quelqu'un est prêt a s'investir ailleurs car nous ne sommes pas a la hauteur de ses attentes cela nous perturbe profondément car nous n'avons pas le choix d'être quelqu'un d'autre. "Je suis ce que je suis." C'est pourquoi la recherche d'un partenaire est souvent difficile. L'emphase du mot "partenaire" n'est pas assez soulignée dans notre société ou plus de 50 % des couples mariés divorcent. Le partenariat implique l'effort des deux individus dans un but commun. Arriver