Racisme
La situation socio-politque de l’Allemagne et ses environs sous la domination de Hitler est considérée comme étant problématique par les principales visions qui s’opposent.
Tout d’abord, les juifs et les non-juifs résistèrent aux nazis, dans toute l’Europe occupée (Lawton, 2000). Ces partisans volaient des armes, faisaient sauter des voies ferrées et tendaient des embuscades aux soldats allemands. Des juifs réussirent à s’échapper des ghettos et des camps de concentrations pour se cacher ou pour rejoindre la résistance. Cette résistance juive aux nazis s’accrut à mesure que les déportations s’intensifiaient et que les rumeurs de l’existence de la mort atteignaient les ghettos. Dans plusieurs d’entre eux, des révoltes éclatèrent, notamment le soulèvement du ghetto de Varsovie. Ce soulèvement est devenue le symbole de la résistance au nazisme (Lynch, 2004). En 1942, 300 000 Juifs y ont été arrêtés pour être exterminés à Treblinka. Le 19 avril 1943, les nazis qui étaient décidés à déporter les 70 000 juifs encore présents, affrontent une résistance farouche et désespérée qui se poursuit jusqu’au 16 mai. Elle est finalement férocement réprimée.
De plus, des révoltes éclatèrent aussi dans les camps de la mort. À Sobibor, des gardes furent tués et 600 prisonniers juifs réussirent à s’enfuir et à rejoindre les partisans de la région.
Il y a une absence de résistance de la gauche politique. Tous les cadres politiques ont disparu, les syndicats sont remplacés par un organisme corporatiste, le Front du travail, et les principaux dirigeants communistes et socialistes se trouvent en prison ou en exil.
Il existe des groupes de résistance intellectuelle comme la Rose blanche, fondé en juin 1942 à l’université de Munich, pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle est composée de jeunes étudiants qui refusent d’accepter le totalitarisme, la dictature hitlérienne et les souffrances causées par la guerre. Parmi ces étudiants, Hans et Sophie