Au-delà de la mise en relation, la communication est porteuse de signifiants sous un triple angle d’atténuation des dysfonctionnements managériaux de l’entreprise. Sous le premier angle, la communication se mue en solution en vue de réduire la distanciation qui sépare les travailleurs. Sous un second angle, la communication devient une réponse de lutte contre l’éloignement entre l’entreprise et ses différents acteurs. Sous le troisième angle, la communication est considérée comme une réponse de positionnement de l’entreprise sur le marché.

Aussi, introduit-elle l’entreprise dans le village planétaire de MAC LUTHAN car nul ne saurait prospérer dans une isolation économique en pleine période de mondialisation. La communication se présente ainsi comme le cordon ombilical qui vivifie la dynamique de l’entreprise.
La création d’un département de communication dans toute organisation devient ainsi vitale pour sa survie. Il constitue en tant qu’outil d’aide de décision un nœud central susceptible de contribuer durablement à l’amélioration du processus de production. Car toute politique sans dimension humaine transforme agents et travailleurs en zombie, incapable de prendre des initiatives.

La création et le pilotage d’un département de communication sont un ensemble de procédés qui s’appuient sur l’environnement socio-économique et sur des indicateurs précis. Ces derniers devront être observables, tangibles et mesurables. Le cas échéant, des indicateurs non mesurables peuvent être exploités s’ils s’avèrent pertinents.
Créer et piloter un département de communication fait partie d’un enjeu managérial dont la mission essentielle est de contribuer à la maximisation des investissements. Cela relève de l’audit de la communication qui préside la création et l’animation du département.

Création d’un service de communication pour un cabinet de conseil
(80 personnes - Paris, Lyon, Madrid et Londres - CA 2000 : 8.9 M€)

› Contexte : 1998 : fusion de deux