De nos jours, la catégorie étudiant fait de plus en plus partie du développement socio-économique du pays, mais ils ne font pas partie d’une politique spécifique. Il s’agit des étudiants salariés. Les étudiants salariés ne font pas partie d’une catégorie mais d’une réalité, une situation qui concerne une parcelle importante de la population étudiante.
On s’est renseigné sur le travail étudiant en France : D’un point de vue quantitatif 75% des étudiants travaillent pendant le cours de l’année scolaire y compris l’été.
Le taux d’emploi des étudiants varie fortement au fil de l’année en fonction du calendrier des études. Il est plus faible en début d’année scolaire (16,5 % au 4e trimestre et 17,1 % au 1er trimestre) et plus intense au printemps en raison des stages (20,1 %) et surtout pendant les vacances d’été du fait d’emplois occasionnels (23,5 %).
Les étudiants qui occupent les emplois réguliers sont généralement les plus âgés, ont plus souvent un logement indépendant ou encore vivent plus souvent en couple. Ainsi, un étudiant de 22-23 ans a deux fois plus souvent un emploi d’attente ou un emploi concurrent qu’un étudiant de 19 ans ou moins, et deux fois moins souvent qu’un étudiant de 26 ans ou plus.
16,9 % des étudiants qui travaillent sont en stage ; 35,2 % de ces stages nécessitent de travailler le soir ou la nuit et 91,2 % occupent les stagiaires au moins 3 jours par semaine.
Les petits boulots ont le plus faible pourcentage, sont à 100% des boulots de weekend et 32,2 % de ce travail sont effectué le soir ou la nuit.
On a voulu savoir alors ce qui mène l’étudiant à travailler :
Les motivations que mènent les étudiants à travailler sont plusieurs, mais les raisons le plus remarquables sont l’épanouissement personnel, l’envie d’être autonome, avoir de la liberté financière. S’épanouir en tant qu’individu envie de se sentir utile au développement de la