Romantisme
Le monde Grec connait deux formes théâtrales : la comédie et la tragédie. V. Hugo conteste le monde théâtral en 2 genres. Aristote compare la narration écrite et le théâtre.
1) Définition générale
Il commence par définir l’art littéraire comme mimesis (imitation, représentation). Il est disciple de Platon qui définit l’imitation différentielle. Aristote pense l’imitation par la différence car ressemblance non le réel. La ressemblance pose la distance avec le réel, le vrai objet. L a ressemble peu. Il y a l’imitation théâtrale et narrative. Cette imitation théâtrale est en action, personnages en actions. Il revient ensuite pour préciser ce qu’est la nation de mimesis. C’est quelque chose de naturel, toute mimesis est agréable , non pas son objet. Nous aimons imiter nous-mêmes : elle est dans notre comportement. On peut imiter des persos divers : des êtres moralement inférieurs ou supérieurs. Il y a des genres nobles ou bas. Aristote va s’intéresser aux genres nobles : l’Epopée et la Tragédie. Différents moyens d’expression du modèle/ artistique. Entre l’imité et l’imitant : il y a des moyens différents et au théatre ce sont encore des moyens différents.
« C’est mieux d’imiter avec du chant, de la musique, du spectacle ». Il faut imiter les hommes. Représentation humaine, pas le monde. L’Art Grec n’est pas universel. On n’en réfléchit pas à l’objet imité. Absence de l’interrogation du modèle. Aristote s’intéresse à la distance qui existe entre l’imitation et l’imité. Quand j’imite, dois-je imité des évènements qui sont arrivés ou ce qui pourrait arriver ? Dois-je être dans le vraisemblable ou dans le nécessaire ? Aristote vote contre le réel. Si je raconte une histoire qui peut avoir lieu, cela concerne tout le monde puisque c’est universel, alors qu’une histoire particulière n’a pas d’autres objets qu’elle-même. Il y a 6 parties constitutives de la tragédie : fable, caractère, élocution,