Ronsard
Dans cette partie, Ronsard tente de montrer la terreur qu’il ressent par la description totale de son corps. Comme on le remarque avec le champ lexical de la mort : «os, squelette, décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, mort, peur, tremble». De plus, il utilise un ton dépréciatif tout au long du premier quatrain, ce qui ne fait qu’accentuer la peur qu’il a, mais le ton dépréciatif est mis beaucoup plus en relief dans le deuxième vers. De plus, la répétition des lettres «d» vient mettre l’enfase sur le ton du quatrain. Par la suite, on remarque une certaine gradation dans le deuxième vers : «décharné, dener… ». Ceci vient ajouter à la terreur de Ronsard de ne plus rien n’avoir sur soit, même pas sa vitalité. On remarque aussi que Ronsard utilise une personnification dans le troisième vers : «que le trait…». On peut très bien voir que la mort ne peut pas frapper. Ceci montre que Ronsard ne veut pas mourir. Donc, Ronsard se sent seul et abandonné de la vie et on le remarque plus dans le deuxième quatrain.
Dans cette deuxième partie, Ronsard ce sent abandonné de la vie selon lui, même les dieux de la guérison ne peuvent rien pour lui : «apollon et son…». Cet extrait montre Ronsard au bout du rouleau, il est désarmé face à ce fléau. De plus, avec la litote