Rédaction inspiré par jean de léry
Il y a quelques années nous avons eu la chance de rencontrer un homme français qui portait un nom fort amusant : Jean Grosse Huître.
En tant que chef des Tupinambas je pus avec d'autres hommes du village avoir une conversation avec l'étranger. Nous l'avons reçus le plus amicalement possible pour le mettre à l'aise. Le fait que ne nous parlions pas la même langue ne l'a pas empêché de parler avec nous grâce à l'aide d'un traducteur nous nous entretenions durant de longues heures.
Comme les autres hommes qui viennent de l'autre côté de l'étendue bleue Jean était habillé, plus grand et pâle que nous et surtout il avait beaucoup de poil sur son corps.
Le français était très intéressé par nous, notre culture, notre mode de vie et des tas d'autres choses. Nous avons essayé de répondre le mieux possible à ses questions mais il en avait tellement. L'une des ses premières questions traitait de notre tribu, il voulait savoir qui en t'était le chef et pourquoi cette personne en particulier. Je lui répondit alors que le chef des Tupinambas lui adressait à l’instant même la parole et que j'avais été désigné comme tel depuis près de 5 ans, pour récompenser ma force et la bravoure dont j'avais fait preuve à la guerre en tuant plus de 70 de mes ennemis. Jean s’intéressa par la suite sur la hiérarchie dans la communauté. Je lui répondit tout simplement que les plus forts, courageux et braves hommes sont décorés en conséquence. De cette réponse déboucha une autre question en lien avec la précédente, quelles genre de récompenses recevaient les Tupinambas pour leurs efforts. Je lui fit alors une liste des gratifications obtenu par les plus valeureux gens ; comme le titre du futur chef, une place au conseil de la tribu, une nouvelle case ou bien le droit de changer de femme mais encore recevoir des armes ou de la nourriture en plus. Cela dépendait entièrement du service rendu par le guerrier.
Tout du long de mon discours Grosse Huître avait pris des notes