Sa majesté des mouche
Le pere et l’Afrique:
Avant Ogaja il y avait des miroirs, des tableaux, la guerre.
Ils etaient confinés dans un appartement a Nice (où ils vivaient a 5 dans deux pièces mansardées et même a 6 en comptant la bonne Maria), les rations de la guerre, le froid de l’hiver.
Le père à vécu 2 ans en Guyane Anglaise comme médecin itinérant sur les fleuves avant l’arrivé du pere le narrateur et son frere faisaient des choses terribles.
Il y avait aussi , les vieux plateaux de l’ouest Camerounais, les douces collines de Bamenda et de Banso les chemins a travers les Grass Fields et les montagnes du Mbam tout cela comme un trésor d’humanité quelque chose de puissant.
A oglala: il y a eu l’éffacement de son visage, il habite dans une «case » Il y a le regne du corp, pas d’école , pas de club, pas « d’amis ».
Il y avait des fourmis monstrueuses, des insectes de partout.
Le pere est arrivée en 1928
La premiere fois que le narrateur vit son pere, il lui semblé qu’il porté des lorgnons mais en faite il portait des Lunettes a fine monture d’acier avec des vers rond. Il a gardé de cette rencontre, l’étrangeté, la dureté de son regard accentué par 2 rides verticales entre ses sourcils, son coté britannique, la raideur de sa tenue, la sorte d’armature rigide.
Ce pere inconnue, étrange , possiblement dangereux.
Après Ogaja: Une photo unique d’ogaja qu’il ne reconnaît plus, des moment sauvage , libre, dangereux devenu un trésor.
Souvenir d’un bateau entre 2 mondes.
Theme 2:
Le pere vu par le narrateur Enfant / Le pere vu pas le narrateur Adulte
Le narrateur a connu son père lors de ses 8 ans, En 1948 il était usé, vieilli prématurément par le climat équatorial, amer par la solitude. A l’age de 30 ans le pere quitte Southampton pour aller en Guyanne Britannique, les photos montre un homme Robuste, Sportif, élégamment vétue, il a fait 7 ans d’études a Londres et il n’avait que deux amis: Ahidjo et le «docteur » Jeffries.
Etant enfant le narrateur