1er novembre 2013
Dignité de la personne humaine

Le principe de dignité de la personne humaine repose :
Sur le fait que Dieu a créé l’homme par amour. (Ce qui est une grâce de le savoir)
Sur le fait que chaque personne est unique et irremplaçable. (Même un non croyant qui use de son intelligence reconnaît cela)

Cela implique qu’attenter à la vie humaine est un homicide, un crime, un meurtre.
Les lois morales qui régissent les relations humaines condamnent l’atteinte à la vie de l’homme. Cependant, dans le cas d’agression, il est moral de se défendre même au risque de prendre, dans ce cas, la vie de l’agresseur.
Les lois civiles homicides, contraires au principe de dignité de la personne humaine, ne requièrent aucunement l’obéissance.

Remarques
Pour comprendre comment un pays civilisé a pu imposer des lois homicides, il faut lire « Le Rapport Lugano » (362 pages), commenté par Susan George, publié en l’an 2000, chez Fayard - ce « Rapport » nous fait connaître l’état d’esprit de ceux que je nomme « les Maîtres du monde » - ; repérer à quel point nos gouvernants, consciemment ou pas, mettent en œuvre ce projet ; et, enfin, constater que le but de ce projet est la destruction d’une partie de l’humanité.
Page 123 : « La question est donc pour nous de savoir non pas si nous devons réussir à provoquer une baisse sévère de la population, mais comment nous allons nous y prendre. »
Page 123 : « La sélection des « victimes » ne devra être le fait de personne, sinon des « victimes » elles-mêmes. Elles se choisiront elles-mêmes sur des critères d’incompétence, d’inaptitude, de pauvreté, d’ignorance, de paresse, de criminalité et ainsi de suite ; en un mot, elles se trouveront dans le groupe des perdants. »
Page 132 : « Pour atteindre notre objectif de 4 milliards en 2020, il faut réduire la population de 100 millions d’unités par an environ pendant deux décennies. »
Il faut lire ce « Rapport » pour comprendre à quel point, au cours des années passées, les