Luther : Un moine rebelle

1. A) La peur du jugement final. Il se sentait pêcheur malgré sa vie sans excès ni faute, il essaya de comprendre l’Évangile sous un autre angle différent tentant ainsi de déterminer la vraie « justice de Dieu ».
B) Il n’aimait pas la représentation d’un dieu vengeur. Il accuse le pape, les évêques et tous les disciples de l’enseignement religieuse d’être des prêcheurs et de ne vouloir que la richesse. Il accuse les gens de l’Église de prétendre être les seuls maîtres de l’Écriture alors qu’ils sont corrompus eux-mêmes. Ses critiques sont bel et bien justifiées puisque la base du catholicisme n’est certainement pas l’enrichissement personnel!!!
C) Il trouve son réconfort dans l’Écriture de l’Évangile
D) L’élément principal de la réforme est la justification par la foi, en d’autres mots, selon Luther, seule la foi permet aux croyants d’échapper à l’enfer. Il déclare que les « bonnes œuvres » ne sont pas nécessaires et établit la Bible comme étant seule source de la foi. ( Il se questionnait sur le lien entre la foi, les bonnes œuvres et la « justice de Dieu », selon lui le vrai trésor de l’Église c’est le saint Évangile) Il abolit les Traditions et cultes de l’église qui considère superstitieuses. Il condamne aussi les dons d’argent pour tenter de se racheter, l’argent n’étant pas une valeur propagé dans l’Évangile. (Il affirmait que l’Église, par son attrait du gain et sa cupidité poussaient les croyants à prêcher et payer inutilement.)
Il met chaque croyant au même niveau, supprimant ainsi la hiérarchisation qui est si importante dans l’église catholique. Selon lui chaque fidèle a un lien personnel et direct avec Dieu. (Il prône l’égalité de chaque croyant, il se questionnait sur la légitimité du « pouvoir » des dirigeants de l’Église qui agissaient comme étant au dessus de tout.)

2. Contexte historique
La diffusion de l’humanisme * Un nouveau mode de vie et de pensée se propage,