Simone de beauvoir, plantu, votaire et olympe de gouges
Votaire et Olympe de Gouges au XVIIIeme siècle , puis Simone de Beauvoir et Plantu au XXeme siècle, parle tous les quatre de la condition de la femme face à l'homme. C'est ainsi que nous allons voir les procédés argumentatifs employés dans le roman, dans le préambule et dans la caricature pour traiter de la condition féminine.
Tout d'abord, dans l'extrait de Femmes, soyez soumises à vos maris de Voltaire, Madame de Grancey fait part de son indignation envers la lettre de Saint Paul. Elle conteste l'argument : la femme qui dépend de l'homme. Elle dit que la différence entre les deux sexes repose sur une complémentarité « l'union »(l.13) , et que la femme est nécessaire à l'homme comme l'homme est nécessaire à la femme «nécessaire les uns aux autres »(l.12).
Dans le préambule Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne de Olympe de Gouges, elle nous montre que les deux sexes dans la nature, on les «trouveras confondus» et «ils coopèrent avec un ensemble harmonieux».
Au contraire Simone de Beauvoir dans Le Deuxième Sexe, dit qu'il est difficile pour les femmes d'aujourd'hui d'assumer «leur condition d'individu autonome». Ainsi que Plantu dans la caricature de L'Année 1999, qui place la femme à un rang en dessous de l'homme.
Ensuite, Madame de Grancey conteste d'argument : l'homme est plus intelligent que la femme. Elle le conteste en montrant son intelligence en reprenant la phrase de Molière « Du côté de la barbe est la toute-puissance » qui montre sa culture.Et en affirmant qu'il y a des reines qui valent bien des rois, comme la princesse allemande.
Olympe de Gouge dit que l'homme veut commander sur « un sexe qui a reçu toutes les facultés intellectuelles » utilisation d'une périphrase pour dire la femme.
Simone de Beauvoir cite le poète Jules Laforgue en disant que quand la femme pourra vivre sans déchirement et bien son voeu pourra être exaucé et cite un extrait de la lettre de Rimbaud à Paul de Demeny qui dit que la