Slate
Suite à deux échecs en première mi-temps contre le gardien Mexicain, une troupe d’élite – Henry, Gourcuff et Anelka – est constituée et mise sous le commandement de Ribéry, un proche de Domenech. Après une longue marche le long de la ligne de touche, Ribéry attaque la surface de réparation depuis le côté droit. En même temps, les milieux défensifs français s’approchent des fortifications mexicaines.
Les Mexicains, attaqués de toute part, commencent à céder, d’autant que les Français réussissent à combler les obstacles. L’entraîneur mexicain envoie Carlos Vela en renfort pour le camp supérieur. Javier Aguirre injecte ensuite des remplaçants frais. Ayant refoulé les Français, les milieux défensifs mexicains rejoignent les attaquants tandis que les latéraux contournent les retranchements extérieurs, Evra et Sagna, et prennent Abidal à revers. Voyant les attaquants mexicains derrière eux et de nouvelles cohortes approchant, les Français prennent la fuite. Les Mexicains leur coupent la retraite et les massacrent. Ribéry est capturé. Voyant ce désastre, Domenech ordonne le repli de ses troupes. Au signal de la retraite, les remplaçants quittent le stade et s’enfuient.
Le lendemain, Domenech décide de se rendre. Après la reddition de la France, la plupart des joueurs français – sauf Gourcuff et Ben Arfa – sont réduits en esclavage et distribués aux clubs de Ligue 2, « à raison d’un par tête » (Javier Aguirre, B.G. VII, 89).
Merci à Wikipédia pour la description de la bataille
Azincourt, 1415
[pic]Quand Diego ouvrira les mains, il sera question de “chupar”
Pendant les