sociologie de l_innovation
Notation:
Note de synthèse: 50% de la note finale. A présenter à deux.
Fiche de lecture: 50%. A rendre le 13 janvier.
Première semaine d’octobre: séance au bar
Introduction
1. Une ouverture sur la complexité historique et sociale
Nous avons deux gros problèmes a régler:
- On a une idée un peu fausse de la notion de progrès techniques: En tant qu’acteur sociaux, nos points de vu divergent, ce qui se reporte sur le processus d’innovation. On a tendance a surestimer l’importance du progrès technique. Tout ce qui a trait à l’évènement et à la continuité pose problème.
- Évènement: on a le sentiment que l’histoire est faite par des innovateurs, des visionnaires, des gens qui font l’histoire.
- Continuité: on a le sentiment que l’on est sur une courbe à étape, que l’innovation est continuelle. Les sciences sociales ont déconstruis ces deux problèmes.
Marx est un des premiers à avoir dit que l’histoire humaine est économique et non politique. En expliquant comment fonctionne l’économie, on met de côté tout ce qui a trait aux décisions individuelles et politiques. Libre arbitre assez limité. Il a dit que l’apparition de l’imprimerie, par exemple, démontre que l’on est passé d’un système féodal à un système capitaliste, et ce n’est pas que Gutenberg.
Marc Block, de l’Ecole des Annales, a parmi d’autres, fait l’histoire social.
Si Jules Ferry a rendu l’école obligatoire, c’est pcq les français voulaient un tel système (Marcel
Pagnol). François de Furet (?) en traite dans un ouvrage.
Dans l’innovation on oublie les tendances de fond, en se focalisant sur de petits évènements
(tendances lourdes: Sociales etc). Les structures sociales changent très lentement.
On a une histoire qui échappe à la pensée évolutionniste: L’histoire est complexe, et le progrès n’est pas directement ce qui nous distingue des autres sociétés.
Notre vision de l’innovation va souvent dans le sens d’une pensée étant « nous sommes développer ». On a des modes de croyances qui