Au cours du chapitre un, au travers des témoignages l’auteur nous montre que l’expérience de l’hospitalisation, de la maladie, pour un soignant change sa relation avec le patient. En passant du côté des malades, il se rend compte des besoins et des attentes du patient.

Dans le chapitre deux, on voit que pour qu’une médecine soit humaine il faut d’abord se préoccuper du malade. Pour cela, le malade a besoin d’un dialogue pour que la relation soignant-soigné soit plus humain. Le patient a besoin d’être entouré, il désir une certaine disponibilité, d’être traité avec respect par son médecin (personnel soignant ?). Il a aussi besoin de coopérer dans ses soins, de se sentir acteur de sa guérison. La famille joue un rôle important dans la guérison du patient et avec des explications peut y contribuer.
Enfin, pour terminer ce chapitre Marie de Hennezel aborde la d’argent violence dans les soins. Cette violence existe mais elle est souvent inconsciente de la part des soignants. Elle est du entre autre au manque de personnel. Il faut rester vigilent pour en pas qu’elle augmente.

A travers le chapitre trois, l’écrivaine indique l’hôpital comme n’assumant plus ses fonctions d’aide, d’humanité, d’hospitalité… Depuis les améliorations techniques, l’hôpital devient une usine à soin . La technicité tend à faire disparaitre les examens cliniques (et donc à dévaloriser les médecins traitants), à produire une surconsommation d’examen alors que les patients on besoin d’écouter, d’accompagnement. L’administratif prend de plus en plus de temps, de place et au sein du soin. L’hôpital rentre dans une ère ou l’économie prime. Ceci entraine par exemple, un manque de personnel, une diminution des temps de formation et c’est le patient qui est pénalisé par moins d’humanité. De plus les 35heures ont favorisés les loisirs des soignants, ils pensent plus à soi (à ses RTT…).
Les soignants sont aussi des personnes vulnérables, ils ont le droit d’être fatigué, de souffrir. Ils ont