Sport et politique
Le sport n’invente ou ne produit pas de personnalités politique, de gouvernement, la paix, la violence ou la corruption, mais il peut servir parfois de scène de théâtre dans un monde où le sport n’est pas un but en soi, mais un moyen d’en atteindre d’autres.
Le sport et la politique sont t’il toujours liés ?
Dans un premier temps, nous verrons qu’en effet, sport et politique entretiennent parfois des relations quelquefois dangereuses. Néanmoins, nous modérerons ensuite ce constat en montrant que la pratique du sport peut être libérée de toute influence politique.
Pour commencer, je vais vous expliquer que le sport est un outil d’expression politique, un moyen de modeler sa propre image d’homme du gouvernement. De Obama avec le basket, à Nicolas Sarkozy avec le jogging, en revenant à Nelson Mandela avec le rugby, le sport est bien utilisé à des fins politiques. En pariant sur l’équipe des Springbox, équipe de rugby de l’Apartheid, pour réconcilier les peuples blancs et noirs d’Afrique de Sud, de galvanisés par l’enjeu, de gagnés politiquement et sportivement, les enjeux était énorme d’autant que le risque de voir son peuple se déchirer était omniprésent. Aujourd’hui, les mœurs n’ont pas évolué, et cela, dans le monde entier. En Amérique, Barack Obama, dit « Barry O’Bomber » se sert du sport pour faire avancer des dossiers politique, c’est la « Dunk diplomatie », il met le sport au services de réformes impopulaires, ce qui lui sert de clé pour rencontrer les gens et se rapprocher du peuple, et ainsi faire avancer les choses, pour lui, il n’utilise pas le sport comme une arme.
Des Etats-Unis à la France, le sport est un vecteur politique pour attirer les foules et faire parler de soi, tel est l’image véhiculé par l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, faisant usage du