rs Tours de France n’ont jamais roulés aussi vite, ils ont souvent été suspectés de dopage et parfois même convaincus et déclassés. D’où cette question : un Tour de France sans produits dopants prendrait-il les allures d’une promenade touristique ? Sans oublier le geste de notre héro national, Zinedine Zidane, qui malgré la controverse médiatique qui l’élit au rend de victime afin de lui permettre de conserver son image d’idéal, le geste est là. Tous ces points ne correspondent pas à l’idéal que nous nous faisons d’un sportif de haut niveau. Etre un élit, représenter un pays, vendre du rêve au gens ne suffisent pas à représenter notre idéal s’il y a autant de dérives pour arriver au sommet ou pour y rester.

Lorsque, en plus d’être un sportif d’exception, il incarne les valeurs dominantes dans la société où il évolue, il a toutes les chances de devenir un héro et donc d’incarner un idéal.

Les sportifs de haut niveau sont des grands Hommes, des gloires de nation au même titre que les peintres, les écrivains ou les savants qui rassemblent les peuples. Lors du Tour de France de cyclisme, prêts d’un quart de la population se déplace pour voir les passer les caravanes des coureurs. ( soit 15 000 000 personnes ). Aucune autre fêtes qu’elles soient religieuses, musicales, civiles ou culturelles ne peut rivaliser avec la grande boucle. Cet engouement démontre que les sportifs de haut niveau évoquent selon nous, l’idéal de la société. Cet idéal repose sur la solidarité de la société lors d’une compétition. Le sportif de haut niveau permet au peuple de d’être souder dans l’adversité peut importe s’ils étaient en désaccords précédemment. De plus les valeurs traditionnelles de l’olympisme : le faire play, l’esprit d’équipe, la maitrise parfaite du geste seraient les « clés » du succès réitéré d’une équipe sportive exemplaire. Cependant une fois adapté à notre quotidien, ses valeurs peuvent créer une cohésion de groupe de travail au sein d’une entreprise. Pour tout