Deux amis d’enfance, Babou et Jim, maintenant en classe de première, viennent de terminer la lecture de « Jacques le Fataliste » de Diderot qu’à imposer leur professeur. Babou est un garçon généralement gêné par le changement et devient colérique quand il est contrarié. En revanche, Jim, lui est plutôt un garçon qui aime l’originalité et admire les choses nouvelles. Les deux amis décide de partager leurs avis sur le procédé qui consiste à interrompt une histoire dans le récit et commencer ainsi à en introduire une autre.
- Que penses-tu du livre Jacques le Fataliste de Diderot? Demande Jim à Babou.
- Moi je n’aime pas le procédé qui consiste à interrompre l’histoire … ça me contrarie… répondit-il timidement.
- Pourquoi ? surpris.
- Cela contrarie la continuité de ma lecture. Soupirant Babou.
- Je ne suis pas d’accord ! En quoi cela pourrait la contrarié ? Demanda-t-il
- Eh bien, déjà le fait que Diderot s’impose sur la lecture. Il ne nous laisse pas le choix des questions que l’on pourrait se poser, il le fait à notre place. Admet Babou un peu Agacé.
- Diderot ne fait que commenter se qu’il écrit, cela nous donne une idée de se qui lui passe par la tête tout simplement. Proposa Jim
- Oui d’accord mais à quoi bon, c’est gênant ! Je ne vois pas en quoi un auteur devrait s’imposer ainsi dans la lecture du lecteur ! Au contraire, il devrait écrire un point c’est tout. D’une voix tonnante.
- Diderot est un écrivain original qui a certainement voulut, dans ce roman, ce démarquer des autres auteurs comme Balzac, Flaubert ou encore Zola, qui eux sont des écrivains traditionnel, il cherche simplement a être présent et ainsi à ne pas se cacher derrières ses personnages. Rappela Jim.
- Je ne vois pas en quoi c’est original de s’imposer ainsi et gâcher la lecture.
- Tu y vas un peut fort ! Commençant à être agacé de ses réponses.
- Non je suis simplement réaliste. En quoi ces multiples interventions peuvent être intéressantes ?
- Eh bien, j’ai