t« Pratiqué avec sérieux, le sport n’a rien à voir avec le fair play. Il déborde de jalousie haineuse, de bestialité, du mépris de toute règle, de plaisir sadique et de violence ; en d’autres mots, c’est la guerre, les fusils en moins ». George Orwell (chroniqueur anglais).
Ce corpus est composé de quatre documents : le premier est un texte intitulé « Sport » et écrit par M. Bernard qui explique le sport dans le concept de fair play, un jeu honnête. Le deuxième est un article intitulé « Tout est faux dans le foot » qui expose le sport, particulièrement le football comme une guerre sanglante. Le troisième c’est un entretien à A. Ehrenberg qui analyse le sport immergé dans le dopage. Et en quatrième lieu un document iconographique de Serre qui caractérise le sport dans l’image d’un homme sous l’effet du dopage.
La confrontation de ces quatre documents nous amène à nous demander si le sport est un révélateur de la perte de valeurs sociales. On abordera cette problématique en trois parties : tout d’abord le sport source de violence ; ensuite, le sport un enjeu économique et finalement le sport sous l’effet du dopage.

Tout d’abord, le sport représente un rassemblement collectif qui la plupart du temps déclenche une tornade de violence.

Au premier abord, le sport en théorie devrait être un milieu purifié, un idéal social qui permet la coexistence des gens selon A. Ehrenberg. Rejoignant cette idée, M. Bernard présente le sport sous le concept d’un jeu honnête, sans violence, sans tricherie qui permet une communion collective. Cependant, le fanatisme et la perte des objectifs du sport mettent en évidence toute sorte de problèmes sociaux, tels que la violence, la triche, le fric, l’ennui, expose J. Julliard.

En somme, le sport qui à la basse représentai une communion collective, sous le concept du fair play ; dans l’actualité met en évidence le pire de nous et révèle une perte des valeurs tels que le respect, la honnêteté, l’union, l’identité, entre autres.