Synthèse sur la guerre froide de 1946 - 1989
Texte de synthèse
Dès 1947, la rupture entre les alliés de la seconde guerre mondiale est consommée. La division du monde en blocs antagonistes dominés l'un par l'URSS, l'autre par les États-Unis est une réalité. Entre les deux blocs s'installe un climat de ni guerre, ni pris qu'on appellera guerre froide. Le progrès du communisme amène alors des États-Unis a proposé à l'Europe un plan d'aide économique (plan Marshal) et une alliance militaire (OTAN) conclu en 1949. L'Allemagne de l'Ouest (RFA) y est rapidement intégrée. La riposte de l'Union soviétique ne se fait pas attendre, l'Allemagne de l'Est (RDA) et les autres démocrates populaires s'associent dans une alliance par le pacte de Varsovie (1955).
Le blocus de Berlin ouest par les soviétiques (48-49) et la guerre de Corée (50-53) font craindre le pire. Après avoir de Staline (1953), la théorie de la coexistence pacifique s'impose peu à peu. Protégés par leur arsenaux nucléaires, les deux supergrands renouent le dialogue est temps de négocier une limitation des armements. Mais le de Berlin (1961) et la crise de Cuba (1962) font successivement monté la tension. Les confier au Proche-Orient où les deux parties sont appuyées par les grandes puissances mais chaque fois la paix du monde en danger.
En 1975, la signature des accords d'Helsinki suscite de grands espoirs. Mais États-Unis sortent affaibli et humilié par l'échec de leur intervention au Vietnam (1973) et à la chute de leur principal allié au Moyen-Orient, le Shah d'Iran (1979) tandis que l'URSS se glorifie des succès idéologiques marquants en Afrique et en Asie et renforce son dispositif de fusées nucléaires.
Sous l'impulsion de leur président Ronald est bien (1980 - 1988), les États-Unis renforcent leur potentiel et de Woody le jeune homme sans négliger pour autant les propositions d'ouverture de M. Gorbatchev. Parmi les problèmes qui menacent encore la paix du monde, celui de l'Afrique du sud reste momentanément sans