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Pas moins de dix-sept chefs d'Etat et de nombreux chefs de gouvernement figurent sur la liste, aux côtés de certaines forces armées régulières, d'organisations criminelles, mafieuses ou terroristes. Présidents chinois, iranien, rwandais ou tunisien disputent ces tristes honneurs aux FARC, à l'ETA ou aux forces israélienne ou palestinienne.
Par continent, l'organisation non gouvernementale stigmatise les plus féroces adversaires de la liberté d'expression. "En Amérique latine, les violences proviennent toujours du même quatuor infernal : narcotrafiquants, dictature cubaine, FARC et groupes paramilitaires." Reporters sans frontières souligne que "le continent africain voit également peu de modifications", mais que "certains rapports de forces évoluent en revanche au Moyen-Orient et en Asie". Plusieurs prédateurs ont disparu de la liste, comme en Somalie : Darwish, le chef des services de renseignement révoqué en décembre 2008, "commanditaire de raids musclés, d'arrestations arbitraires et de tirs délibérés sur les rares journalistes du pays". Au Nigeria, le SSS, Service de sécurité d'Etat, a perdu de son pouvoir. La police nationale, et plus particulièrement son responsable Ogbonna Onovo, apparaît depuis peu dans ce pays comme l'acteur central des exactions contre la presse, selon Reporters sans frontières. Reporters sans frontières a aussi retiré certains groupes islamiques de sa liste de prédateurs.
En revanche, Ali