La guerre d’Algérie aujourd’hui Introduction La guerre d’Algérie, qui s’est passée il y a plus de cinquante ans, est une page de l’histoire qui n’a pas été encore complètement tournée. Sans lieux de mémoires particuliers ni date de commémorations évidents, elle reste une guerre sans fin[…] Comme si la fin n’avait jamais était dite[1]. Seulement après une trentaine d’années depuis la fin du combat, on a finalement commencé en France, à appeler ce qui s’était passé avec son nom: Guerre. Mais le silence calé pour si long temps sur cette événement, s’est seulement en partie brisé. Soit entre les deux pays qui l’ont combattue, qu’à l’intérieur aussi de la société française, il y a des différentes mémoires de cette guerre qui se contrastent et qui ne permettent pas d’arriver a une vision objective des faits et à une mémoire nationale française partagées par tous. Cela et les actuelles relations entre le deux pays nous montrent que ce passé reste très vif et influence encore le présent. La mémoire française Quand le longue et violent conflit entre France et Algérie s’est passé, à partir du 1956 jusqu’à 1962, semblait impossible pour la France pouvoir se séparer de ce territoire, rattaché à la France depuis 1830, qui constituait 3 départements français et où vivaient près d’un million d’Européens. «L’Algérie c’est la France[…] Et qui d’entre vous Mesdames et Messieurs hésiterait à employer tous le moyen pour préserver la France ?[2] » dira en effet Mitterand le ministre de l’Intérieur, après la révolte du 1 novembre 1954 qui a marqué le début de la guerre. Cette pensée largement partagé au début du combat avec le sentiment de mauvaise conscience après la fin de la guerre, pour les uns à cause de l’abandon de la guerre après 8 ans de combat et pour les autres à cause de l’honte pour toute la violence et les tortures commises, ont été les causes de la volonté d’oubli de ce qui s’était passé, soit par l’Etat que par la société. Ce qui a poussé